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C’est l’augmentation en France du nombre d’agressions physiques hors du cadre familiale en 2022.

72.000 plaintes pour des violences sexuelles – hors du cadre familial – ont été enregistrées en 2021. 55% des victimes ont moins de 18 ans. Des chiffres sous-estimés car seulement 10% des victimes portent plainte. (source ministère de l’intérieur)

La sécurité personnelle, les agressions ou bien le harcèlement de rue sont presque toujours considérées comme une préoccupation d’adulte, en particulier pour les femmes. Dans de nombreuses situations les femmes sont mises en garde contre le fait de courir ou de faire de la randonnée seules, de marcher jusqu’à leur voiture dans un parking sombre, de voyager seules, de rentrer sans être accompagnées le soir.

Pourtant face aux agressions et aux harcèlement, un autre groupe démographique est tout aussi à risque : les enfants. Selon leur âge, de nombreux enfants sont sans défense lorsqu’ils sont approchés par un « étranger » animé de mauvaises intentions. Malgré les nombreux efforts des parents pour les avertir sur le “danger de l’inconnu qui viendrait leur parler”, nombreux sont les enfants qui ne respectent pas les règles. En effet ils peuvent être manipulés facilement par la personne mal intentionnée et tous les efforts d’éducation sont réduits à néant.

En plus d’avoir des conversations claires sur les « inconnus » et les situations dangereuses qu’ils pourraient rencontrer, les enfants peuvent être équipés d’un dispositif de sécurité personnel comme d’une alarme personnelle i-Scream. Même dans les cas où ils savent comment réagir, c’est une protection supplémentaire qui peut les aider à se mettre en sécurité. De plus l’objet en lui-même est complètement légal à tout âge et peut être emporté partout.

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Les endroits du quotidien qui sont à risque

Aucun lieux “sûrs” n’est épargnés

Les agressions et le harcèlement sont partout. Bien que les parents s’efforcent de surveiller leurs enfants en permanence, il arrive que ceux-ci soient laissés sans surveillance et que des lieux considérés comme “sûrs” aux yeux des adultes, ne le soient pas autant que ça. Voici quelques exemples :

Les arrêt de bus

L’arrêt de bus d’un enfant est souvent proche du domicile et se trouve généralement dans un environnement où les visages sont familiers, les voisins, les commerçants… Cette association en fait un lieu identifié comme “sûr”, le niveau de vigilance est donc abaissé, mais en réalité cela est une cible fréquente pour les prédateurs d’enfants. C’est d’autant plus confirmé pour les arrêts de bus où il n’y aurait qu’un seul enfant. Bien qu’il semble sûr de surveiller votre enfant depuis votre fenêtre ou la porte d’entrée jusqu’à ce qu’il soit en sécurité dans son bus, même cette petite séparation donne à un ravisseur tout le temps nécessaire pour l’enlever.

Aire de jeu/parc

Les aires de jeu sont remplis d’enfants insouciants, naïfs et concentrés sur leurs activités favorites : faire de la balançoire et glisser dans le toboggan. C’est aussi un lieu d’échange pour les parents qui se retrouvent entre eux lors d’un gouter planifié par exemple. Pendant une discussion, nous pouvons très vite baisser le degré de surveillance des enfants, laissant quelques instants à un prédateur pour isoler ou harceler le plus vulnérable loin de l’aire de jeux.

Rue avoisinante/lotissement

Si la météo le permet, les enfants apprécient de jouer à l’extérieur et de se dépenser physiquement. Pendant ce temps, les parents profitent de ces instants pour retrouver la tranquillité du lieu d’habitation et pour avancer la préparation des repas, des tâches ménagères ou pour simplement se reposer. Cependant, il faut à tout prix garder à l’esprit que les personnes mal intentionnées sont opportunistes et qu’elles repèrent en très peu de temps une potentielle cible sans défense. Il leur suffira simplement d’engager une conversation ou un échange afin d’isoler ou de harceler une personne naïve et donc vulnérable.

Dans chacune de ces situations, l’enfant se sent en confiance dans son environnement et également avec l’inconnu qu’il aurait rencontré.
Si l’enfant se rend compte après réflexion qu’il est en danger ou que son instinct lui indique que la personne a des mauvaises intentions envers lui, il est essentiel qu’il dispose d’un dispositif de sécurité personnel comme d’une alarme personnelle i-Scream pour attirer rapidement l’attention sur lui.

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Les habitudes qui peuvent s’avérer dangereuses

Jours après jours, nos diverses activités structurent notre quotidien. Jusqu’au jour où la routine change soudainement avec l’arrivé d’un imprévu et que l’enfant se retrouve dans une situation dangereuse pouvant mener à l’agression physique ou au harcèlement. Voici les habitudes les plus répandues :

Les moments d’attente après un cours de sport

Les activités sportives sont très bénéfiques durant l’enfance, car elles enseignent aux enfants la cohésion, le travail d’équipe, les valeurs sportives, la persévérance, le dépassement de soi. Les parents pouvant être occupés à emmener plusieurs enfants sur différents endroits, il n’est pas rare qu’un parent soit en retard pour récupérer son enfant sur le terrain de football ou de tennis. C’est l’occasion pour un prédateur de s’approcher d’un enfant non surveillé.

Se rendre à l’école et revenir de l’école à pied

Afin de les rendre de plus en plus autonomes ou bien parce que les horaires de travail des parents imposent aux enfants de se rendre à l’école seuls ou avec leurs copains, copines. La sécurité est renforcée lorsqu’ils le font en groupe. Il s’agit souvent d’un phénomène naturel, les amis du quartier se retrouvant pour marcher tous les matins et tous les après-midi avant et après l’école.
Mais il suffit d’être en retard ou bien de se retrouver seul car le copain ou la copine est absent pour diverses raisons (malade, rendez-vous programmé) et l’on se retrouve isolé ou plus vulnérable face aux imprévus mais aussi face à un inconnu qui s’approche.

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Enseigner la sécurité personnelle dès le plus jeune âge

Il est essentiel que les parents enseignent à leurs enfants les protocoles de sécurité dès leur plus jeune âge. Ils doivent notamment aborder les sujets suivants :

  • Comment réagir si un inconnu s’approche de l’enfant en lui proposant quelque chose (par exemple des bonbons, de l’argent, des jouets, etc.) ?
  • Comment réagir si un inconnu tente d’agresser ou harceler un enfant ou son entourage ?
  • Que faire si une voiture inconnue s’arrête à l’arrêt de bus ?
  • Les précautions à prendre pour rentrer à pied de l’école.
  • Alerter un entraîneur si un parent n’est pas encore venu chercher son enfant.
  • Comment utiliser une alarme personnelle telle i-Scream et comment la garder facilement accessible ?

Où attacher une alarme personnelle i Scream ?

Pour les adultes, il est intuitif de savoir où garder une alarme personnelle pour une utilisation rapide et inattendue face à une agression physique ou face à du harcèlement. L’alarme personnelle est souvent attachée à la lanière d’un sac à main, à un porte-clés ou placé dans une poche. Pour les enfants, l’accès facile à une alarme personnelle est un peu plus compliqué car ils ne portent pas de sac à main ou de trousseau de clés. Les enfants peuvent attacher leur alarme personnelle à la lanière  de leur sac à dos ou à leur ceinture, caché dans la poche.

Conclusion

En matière de sécurité, la plupart des parents savent que les enfants sont des cibles faciles. Cependant, certains sont persuadés qu’ils vivent dans un quartier sûr ou qu’un évènement malheureux ne leur arrivera jamais, que cela « n’arrive qu’aux autres ». Tous les parents doivent faire preuve de prudence, quel que soit leur environnement, et heureusement, la technologie existe aujourd’hui pour aider les enfants à s’échapper et à obtenir de l’aide. Ne laissez plus les imprévus prendre le contrôle des situations et équipez-vous !

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